Objets de départ

-Une batte de baseball en aluminium qui l'accompagne dans la plupart de ses aventures en dehors de la ville. Outre le fait de pouvoir casser des machoirs et briser des os, la batte est un instrument idéal pour briser, fracasser, intimider et de manière générale s'adonner à corps perdu à tout ce que la loi veut vous interdire de faire ! Depuis le temps, Mae la manie plutôt bien, elle peut prendre de l'élan sans perdre son équilibre, frapper, cogner, répandre votre sang dans l'herbe ! Alors méfiance. Mess with the Cat and you'll get the Bat.

Une basse qu'un ami lui a donné car il n'en avait plus l'usage, elle en joue depuis 2 ans et n'a eu que de très rares occasions pour jouer avec d'autres

Un journal remplit de dessins et de notes. Des notes sur les bizarreries qu'elle a pu apercevoir, mais aussi des notes sur tout et n'importe quoi. Ses pensées de l'instant, ses idées, ce qu'elle voit, ce qu'elle ressent. Elle n'aime pas tant que ça le carnet mais il fait partie du... "traitement".

Capacités et Particularités en détails

Comme tous nos chers polymorphes, Mae est une parfaite fusion de l'humain et de l'animal. Du chat noir pour être précis, mais plutôt que de porter malheur, elle possède un équilibre tout simplement hors du commun. Le genre de personne qui pourrait marcher en chaussettes sur un carrelage ciré, pieds nus sur un toit gelé en hiver ou encore en équilibre sur une ligne à haute tension... Hormis cela, la mi-féline ne serait pas polymorphe sans sa capacité de changer presque à loisir entre sa forme humaine et sa forme "hybride" à fourrure, à mi chemin entre l'animal et l'humain. Toutefois, la nécessité de cacher son espèce à la population l'a poussé à maitriser sa forme humaine au détriment de la forme complètement animale, si bien qu'elle est encore incapable de se transformer en chat comme ses parents le font. Etant donné son jeune âge, elle n'a pas une maitrise parfaite de sa source de magie. Elle est capable de ressentir cette "chaleur" battre au milieu de sa poitrine parfois, mais lorsque la panique ou les émotions la submergent, cette "chaleur" se met à paniquer complètement ! Elle en perd le contrôle au point de ne plus pouvoir contrôler ses transformations. Les résultats en sont imprévisibles, il lui est déjà arrivé de se retrouver "bloquée" avec deux pattes de chat et une seule oreille, de passer plusieurs minutes à perdre et à regagner ses attributs, à se transformer, se reformer, se déformer sans aucun contrôle. Le genre de choses qui n'aide pas à se calmer d'ailleurs... A ce jour, aucun autre don ne s'est révélé, même si elle sait que certains polymorphes ont des compétences plus impressionnantes.

Dans l'obscurité, ses yeux rouges brillent. Brr. Spooky. En tout cas, la source de lumière très faible qui en émane lui permet de voir un peu mieux dans l'obscurité. Elle distingue les formes et l'espace mais pas la couleur des objets, et peu de profondeur.

Elle fait souvent d'étranges rêves dont elle se souvient particulièrement bien. Ces rêves sont régulièrement des rêves lucide dans lesquels elle peut se permettre de se défouler comme elle aimerait dans la réalité ! Toutefois, bien qu'elle contrôle ses mouvements durant ces rêves, elle ne contrôle absolument pas le rêve en lui même, qui vire parfois au cauchemar sans nom... Il lui arrive parfois de se croire dans un rêve pendant ses crises, ou dans ses crises pendant un rêve. Toujours est il que quand elle dort, elle s'agite beaucoup dans son lit et tend à dégager tout ce qui l'entoure. Ou s'y agripper bien trop fort. Outch.  

Physique

En tant qu'adulescente de 19 ans de taille réduite pour son âge, avec un pic vertigineux de 1m56, Mae Browski se fonde parfaitement dans le décor de la ville comme ces nombreux passants auxquels on ne fait jamais attention. Pourquoi, son physique est peu commun. Robuste, solide même, plutôt loin d'une silhouette féminine classique. On sent qu'il faudrait plus d'un ou deux coup pour l'envoyer à terre, et qu'elle a les moyens de riposter.
Impression renforcée par sa batte, d'ailleurs.

Hormis cela, sa peau est mâte. Ses cheveux sont teintés d'un rouge sombre, presque effacé, qui transitionne vers sa couleur naturelle bleue par un gris délavé indiquant une certaine flemme d'entretenir la coloration. Et oui, j'ai bien dis "couleur naturelle bleue". La plupart des gens penseront à une teinture, mais elle insiste sur le fait qu'il s'agit de sa couleur depuis toujours dès qu'on lui pose la question ! Couleur aussi surprenante que celle de ses yeux qui sont d'un rouge sombre -quasiment marrons, en fait- en pleine lumière, mais devienne d'un rouge luisant, cauchemardesque, dans l'obscurité. Un véritable regard de prédateur nocturne qui pourrait en effrayer plus d'un... Toutefois, malgré son croisement félin, ses grands yeux ont une forme complètement humaine.
Sous forme hybride, son apparence change drastiquement. Bien que la corpulence reste la même, son corps tout entier se couvre d'une fourrure aussi bleutée que ses cheveux, ses mains deviennent des pattes griffues, ses yeux adoptent constamment la couleur rouge, des canines affûtées viennent remplacer ses canines humaines et deux oreilles de chat triangulaires apparaissent entre ses mèches de cheveux. Dont une possède une sale cicatrice de morsure, souvenir d'une prise de crocs avec un chien de garde. Pas de queue de chat en revanche, mais sous cette apparence, impossible de douter de son côté surnaturel ! Le peu de changement dans sa corpulence lui permet de ne pas avoir de problèmes de déchirage de vêtement, contrairement à certains loups garous. Une chance~
Toutefois, elle n'adopte cette forme que très rarement afin de rester discrète. Juste pour dormir ou éventuellement lorsqu'elle est chez elle à l'abri des regards...

Reste alors les vêtements ! Et rien qu'à les voir, on devine qu'elle n'est pas la personne la plus propre du monde.
Ses pantalons sont souvent un peu déchirés, ses tee shirts souvent froissés, ses chaussures souvent boueuses. Le kit parfait du félin qui court à travers monts et forêts. Elle affectionne tout particulièrement un tee shirt orange terne à manches rouges toutes aussi ternes sur lequel elle a dessiné un symbole " ∅ " TROKOOL. Ok, du moins qui lui paraissait TROKOOL quand elle avait 14 ans. Maintenant un peu moins, mais elle affectionne toujours autant ce tee shirt par les bons souvenirs qui y sont liés, et aussi par fierté de l'avoir décoré elle même. Il n'est d'ailleurs pas rare de la voir avec cet habit pendant toute une semaine ! Sinon, elle s'habille généralement d'un jean et complète sa tenue avec des Doc Martens cheap, vaguement vertes mais trop peu saturées pour qu'on en distingue vraiment la couleur.

Mental

Sans but et sans destination, vide d'ambition, manquant de vision et de quelques centimètres pour son âge, Maelyn Browski n'est qu'un chainon de plus dans une lignée d'ouvriers et "d'échecs" comme elle aime les appeler autant qu'elle s'appelle elle même. C'est qu'à ce niveau la, cette hybride est un spectaculaire possesseur de l'héritage familial. Non contente de n'avoir aucune vision d'avenir, elle est affecté d'une sérieuse maladie mentale qui l'a déjà poussé à répandre le sang lorsque tout l'univers et la réalité autour d'elle semblent s'être brisés; au point qu'elle n'a trouvé d'autre méthode que de se déchainer sur tout ce qui l'entoure, son fameux instrument d'aluminium en main, pour essayer de retrouver un semblant de réalité. Personne ne sait pourquoi elle l'a fait. La plupart prétendent avoir oublié, mais elle sait ce qu'elle a fait -pourquoi elle l'a fait- et que cette réalité lui pend au cou. Un sursaut de violence qui, à l'époque, a envoyé un autre jeune à l'hopital.

Elle n'agit pourtant pas avec malice, même pas tant avec malveillance, mais sa perception de la réalité et son approche frivole, apathique de la vie adulte la fait passer pour une idiote parfois, et une détéstable personne d'autres fois. Elle ne veut pas être égoïste, mais n'a simplement pas compris que les obligations et les sacrifices sont un fait de la vie d'adulte. Que certaines choses doivent simplement être faites et ne peuvent pas être évitées, même si le choix est présent de ne juste... Pas les faire. Elle considère rarement les conséquences, comme on pouvait s'en douter. Pourquoi se soucier du futur lorsqu'on vit dans le présent ! Cette mentalité la rend destructrice, téméraire jusqu'à l'imprudence et rude voir grossière, mais capable de montrer une compassion sans pareille pour ceux qu'elle apprécie vraiment. Elle ferait de nombreuses choses pour eux, elle ne comprend simplement pas pourquoi son aide est parfois indésirable.

L'un dans l'autre, elle est une chatte avec une batte; Destructrice et sans soucis; Elle mange, dort, court sur les lignes à hautes tensions et saute de hauteurs qui briseraient les jambes de n'importe quel être humain normalement constitué. Juste un autre membre bizarre d'un village de forêt tout aussi bizarre, qui essaie de profiter de ce que la vie daigne encore lui offrir avec les personnes de confiance qu'elle considère comme ses amis.
Dans son étrange village.
La où tout est normal.

Histoire

Hey. Greetings. J'm'appelle Mae. Pas Maelyn, Mae; aka Quisquiliae Mammalia Feliformia Hominidae Homo sapiens Felis. Je suis née.. Quelque part, dans la forêt, bien loin de Gravity Falls et cachée du regard de l'homme dans un hameau avec tous mes semblables. Je me rappelle de très peu de choses de cette époque; juste que mes parents avaient d'autres plans pour moi que cette vie de nomade éloignée de la civilisation. Très tôt, j'avais eu la fierté de maîtriser ma forme humaine la ou les autres parents étaient bien plus laxistes par absence de nécessité. Je me souviens de très peu de choses de cette époque. Mes parents s'absentaient souvent du hameau et me confiaient alors à mon grand père qui pouvait passer des heures et des heures à me raconter des histoires. Des histoires lues dans les livres, des histoires de créatures bizarres, fantastiques, magiques, extra-dimensionnelle, des histoires..
Dont je ne me souviens même pas d'un mot, désormais. En revanche, j'ai toujours ses livres avec mon. Son héritage en quelque sorte. Peut être que je les lirai un jour, certains sont vraiment bizarres. Couvert de codes sans aucun sens comme "12-4-16-23-11-8-14-8-2"

Donc, à mes 6 ans, nous avons quitté le hameau. Eux sont partis s'installer vers d'autres terres plus au nord, mes parents ont saisi cette occasion pour aller vivre à Gravity Falls et mon grand père est resté dans la forêt en disant que "quelqu'un devait rester ici s'occuper des légumes.". Il a rit en disant ça. Je crois que ce rire imprimé dans ma mémoire est le plus vieux souvenir que j'ai, le tout premier. Ainsi donc, l'arrivée à Gravity Falls ne fut pas facile. Je me rappelle que nous avons vécu quelques temps chez un ami avant de pouvoir habiter dans une vieille maison de la petite ville. Ce fut aussi la découverte de l'école élémentaire et les premières années de ma vie à devoir m'asseoir sur une chaise au lieu d'aller courir en forêt pour faire des bisous aux arbres. Urgh. De toute façon j'étais incapable de me concentrer sur le blabla du prof plus de 10 minutes; il me fallait juste quelques secondes de déconcentration pour passer complètement à autre chose et oublier que j'étais même en classe. Vous n'avez pas idée du nombre de stratagème que j'ai pu inventer pour passer le temps. Deviner les formes des nuages ? Une idée de moi !
Grâce à mon grand père, je n'avais pas de problème pour lire et écrire. Mais compter... J'ai du décrocher dès l'arrivée du chapitre sur la division. Par rapport aux autres élèves, mes parents m'avaient bien mit en garde de camoufler mon origine surnaturelle. Je restais donc la plupart du temps dans mon coin, à éviter de parler aux autres que ce soit à l'école ou en dehors. J'avais juste quelques potes d'autres classes à la récré, et surtout la réputation d'être la meilleure pire élève de Gravity Falls...
Moui. Je crois que les profs m'aimaient bien. Je n'avais pas de bonnes notes, mais je ne fichais pas non plus le bazar ni dans leur cours. En dehors des cours, j'allais voir mon grand père de temps en temps ou je m'éloignais dans les bois. Je suis presque certaine d'avoir vu un ours à plusieurs têtes une fois. Rien de plus pour le moment, mais au moins je ne suis pas la seule chose bizarre aux alentours ! Il a fallu attendre le "8th grade"
soit l'année de mes 13 ans pour que je rencontre Greggory "Gregg". Un pote avec qui j'ai fais les 400 coups.
Littéralement. Je crois que mes notes en ont pâti un bon moment d'ailleurs. C'était bien plus fun d'aller crapahuter avec lui dans les bois, de se battre au couteau, de casser des trucs à la batte ou d'aller trainer en ville que d'écouter le discours du prof. On a même failli faire cramer l'école une fois ! Sans même le vouloir ! N'importe qui y arriverait volontairement mais INVOLONTAIREMENT ?
La grande classe.

Est ce que quelqu'un ignore l’événement qui s'est passé pendant mes 16 ans ? J'étais dans la forêt quand le ciel est devenu rouge et qu'une fissure est apparue, semblant déchirer l'espace lui même. Ma montre s'est arrêtée. Les créatures de la forêt se sont mise à détaler et mon propre instinct me remplissait d'un stress immense, d'une anxiété sans pareil.
Tout ce qu'il s'est passé en ville en l'espace de quelques instants, tout était tellement... Irréaliste. Impossible. Les habitants se faisaient pétrifier les uns après les autres ou sombraient dans la folie. Les objets devenaient vivants ou géants. Ou les deux. Il fallait constamment se cacher d'étranges yeux volants...

C'était tellement irréel.

Je crois que quelque chose s'est cassé, ce jour la. Dans ma tête.
Tout ce qui se passait. Toute cette réalité qui s'était brisé. Tout ce sur quoi notre monde était basé venait de voler en éclat. D'un claquement de doigt venant d'un triangle lumineux, tout ce qui était "normal" venait de devenir "impossible" et tout ce qui était "impossible" venait de devenir "normal". Les arbres n'étaient plus des arbres, ça pouvait être n'importe quoi, ce n'était qu'un fourmillement d'atomes sans fin en train de se cogner les uns aux autres dans ce gigantesque univers sans queue ni tête, sans but, sans raison. Juste des atomes, manipulés à loisir par le "Triangle". Des formes mortes sans raison d'être.
Et je n'étais pas la pour le voir. Pas vraiment la. Mon cerveau me semblait être à des années lumières de mon corps, les choses n'avaient soit plus aucune logique, soit beaucoup trop de liens absurdes, j'étais devenu spectateur. Une boule de cervelle, de tristesse, de colère de voir que tout ça était tellement impossible, de voir ce village en feu. Il y avait comme un voile entre moi et la "réalité" qui m'empêchait d'agir. C'était comme être dans un film. Être spectateur de son propre film.
Je n'avais quasiment aucun contrôle sur ma forme à ce moment la. L'un de mes bras était entièrement félin, l'autre humain, je n'avais qu'une oreille de chat et, batte en main, je me suis vu fracasser l'un des yeux censé nous pétrifier qui s'était baladé un peu trop loin dans la forêt.

Puis.. Tout s'est purement et simplement arrêté. La faille a disparu aussi vite qu'elle est apparue, emportant avec elle quasiment toute l'étrangeté des derniers jours, mais sans emporter pour autant ce voile qui me cachait la réalité.
Incapable de me contrôler, quelque chose m'a poussé à revenir en ville deux jours après, un de mes camarades de classe m'a reconnu et s'est précipité vers moi...
Et je l'ai vu, courir dans la rue
Je l'ai vu, ce fourmillement d'atomes et de formes
J'ai eu l'impression de lire ce qu'il me disait, comme si mon cerveau recevait l'information mais n'en tirait aucun sens.
Juste des formes. Juste du texte. Il était faux lui aussi, j'en étais sur. Au moment d'arriver à moi, sa joue n'a rencontré que l'impact cruelle d'un coup de batte de baseball parti à pleine vitesse. Sans même que je ne m'en rende compte, je l'avais plaqué au sol et continuait de le cogner encore et encore, tantôt avec ma batte, tantôt avec le poing, tantôt avec les griffes de ma patte encore transformée, répandant de plus en plus de formes rouges dans la rue et au pied des arbres.
Juste des formes.
Juste du faux.
Il a fallu deux adultes pour me maitriser et arrêter le massacre. J'étais en panique, en train de pleurer, de grogner, et de suffoquer à la fois. Incapable de comprendre ce qu'il m'arrivait. Incapable de reprendre mon souffle.. J'ai fini par m'évanouir.

A mon réveil, j'étais à l'hôpital. Appris que j'avais failli le tuer. Personne ne semblait se rappeler de la catastrophe du triangle illuminati, j'ai eu du mal à accepter que j'avais pété un câble à ce point. Tout avait pourtant semblé tellement vrai.
Après ça, j'ai du suivre une thérapie avec le doc de la ville. Elle m'a donné des médicaments, un carnet de notes sur lequel je devais noter mes pensées du moment ou dessiner lorsque je sentais la réalité m'échapper, ainsi que des séances bimensuelles... couteuses.

La vie a donc repris son cours ensuite. L'école. Les conneries avec les potes. On a parlé de cette affaire deux ou trois semaines en ville, "l'enfant-chat Browski", puis l'histoire s'est tassé. Trop peu de gens ont vu la scène pour assurer que j'avais bel et bien eu une grosse patte de chat à lors de l'incident et ainsi mon secret est, au pire, resté à l'état de rumeur.
Je n'ai jamais parlé de ça à personne. Je n'ai jamais parlé de ce qu'il s'est passé dans ma tête à personne d'autre que le docteur. J'ai essayé de mon mieux pour oublier mais j'ai l'impression que la ville n'a pas oublié, elle. Et je m'en fous.
Cette année la, j'étais incapable de me concentrer, j'ai multiplié les sèches de cours avec les potes et fini par redoubler.
Et me voila maintenant en Senior Year à 19 ans. Je n'ai plus jamais fais de crise aussi grave depuis, dessiner et écrire m'a aidé à m'accrocher à la réalité suffisamment, et surtout, le fait de voir venir les crises m'a également permit de les gérer. Se dire que tout est sur le point de devenir bizarre, faux, et irréel aide à se contrôler pendant cette période.
J'espère simplement que ça va durer.
Avec la dernière année d'étude obligatoire, je vais devoir choisir de rester ici ou de partir, et avec cette soudaine réalisation j'ai l'impression que mon instinct me crie son anxiété dessus de plus en plus. Un peu comme ce fameux jour "d'apocalypse"...
J'espère du moins que ça ne vient que de la.

Quelques lignes sur vous

►Votre pseudo? El Ferreto !
►Ton âge? 20
►Comment as-tu trouvé ce forum? google
►Qu'en penses-tu? Sympa. Je trouve la reprise de Gravity Falls autant dans la série en elle même que dans l'esprit de la recherche, des mystères, et des messages codés très réussie pour le moment. Ca me plait beaucoup et bien que j'aimerais mourir ailleurs que poursuivi par une figure mystérieuse dans cette ville, j'espère pouvoir rajouter un peu de WEIRD durant l'automne :3c
►Des questions ou des remarques? Nah
►Un double compte? Si oui, lequel? Nah