Objets de départ

Sur elle :

— Trousse de maquillageContenant ses essentiels, un miroir de poche, du démaquillant et tout pour parfaire ou retoucher son fard en toute circonstance.
— Nouveau sac top-tendance Cadeau d'elle à elle-même, ce sac est devenu l'homme de sa vie (après son père évidemment) depuis qu'elle à apposé le regard dessus. Il fait un peu steampunk mais au final, si elle le porte, il est forcément voué à devenir tendance. Preuve à l'appui, June le remarque de plus en plus aux épaules des filles de Gravity falls.
— iPod Partenaire de vie et témoin de ses danses les moins avouables, il supporte depuis son premier allumage les karaokés foireux de Miss Smilovbitchy


A la maison :

— Peluche lapin vieillissante Supposée jeté il y a trois ans, c'est une peluche recousue de part en part et malmené par le temps.
— Collier de perle de maman Collier de perles véritables, subtilisé aux cartons renfermant les affaires maternelles.
— Vieille moto Né d'un sentiment de jalousie à l'égard de la voiture fraternelle, June a décidé il y a quelques mois de retaper une vieille moto pour ne plus avoir à marcher.
— Lunettes teintées Une collection de lunette de soleil prend place dans sa chambre, arborant des couleurs, formes et style totalement différents pour parfaire ses looks lorsque le soleil vient à baigner son doux visage. Et puis que serait une diva sans ses lunettes, mmh ?

Capacités et Particularités en détails

Popularité : Belle, intelligente, suffisamment confiante pour happer d'un charmant sourires les regard autours d'elle, June n'éprouve aucun mal à se mêler au foule et se faire une place parmi celle ci, si bien qu'elle devient souvent une figure récurrente des soirées et groupes les plus populaires. D'un autre côté, la demoiselle s'est doucement faite habile dans l'art de plaire et a su épouser au fil des années les attentes d'autrui avec tant d'aisance qu'il est parfois difficile de faire la part des choses entre sa natures véritable et ce rôle qu'elle arbore en toute complaisance.

Corbeau : Si les chevaliers brandissent leurs épées contre le Mal, June épouse son rôle de garce à langue de vipère du bout de ses cinglantes rumeurs, et ce avec un rare brio. Balayer ses ennemis, taire ou corrompre certains éléments compromettant pour le bien ou malheur de son entourage, rien de plus simple. Ses armes ? Une maîtrise hors pair de photoshop, ses relations, des oreilles bien docile et avide de chaos pendu à ses quatre volontés, et une hargne sans limite quand il s'agit de dénicher des informations supposés perdu ou enfouis six pieds sous terres. Rien ne semble échapper à son regard acéré, rien, si bien que la prendre pour ennemie vous vaudra à coup sûr une exécution publique et sévère voué à la destruction de votre image et égo. Hélas, il semblerait qu'elle s'en prenne également aux gens qu'elle juge bizarre aux trop faible, plaquant dès lors sur son chemin un "marche ou crève" qui accorde à sa route des airs de jungles trop hostiles.

Leadership : Hargneuse, impitoyable, détestable jusqu'au bout des ongles, June n'a rien d'une sainte et pourtant, personne ne peut lui arracher ce je-ne-sais-quoi qui grise tant son assistance. Les relations ne font pas tout, et si elle marque sans doute l'influence qu'elle peut avoir sur les autres, il est certain que son aura ne peut se résumer qu'à un jeu de lien. Leader née, elle sait insuffler aux autres une force à peine soupçonnée, tirer de leur carcasse le meilleur pour en faire d'infaillible guerrier et les mener jusqu'à des victoires surprenantes.
June est une oreille attentive qui, dès qu'elle daigne se tourner vers ses pairs, révèle des conseils aussi avisés qu'étrangement bienveillants par instant.  Il faut croire qu'elle aime prendre soin des âmes qu'elle veille, et si elle se voue habituellement au chaos, il n'est pas rare de la voir témoigner de douce affection à l'égard de cette meute qui est la sienne. Elle pourrait être un élément clé lors de situation désespérée, autant en bien qu'en mal.

Survivaliste : Wait... What ? Si le principe de préserver ses fesses en cas de crise semblait déjà courir le long de son échine avec une férocité stupéfiante, il faut croire que cette année à su suffisamment glacer la jolie brune pour la contraindre à un entraînement spécifique, en prévision d'une apocalypse zombie ou quelque chose du genre. Entre cette ville de taré et les plans foireux de son frère et Pines, June a finit par douter survivre jusqu'au prochain été alors, c'est prévoyante qu'elle a finit par préparer trois sac à dos, sagement posté près de son lit. Au cas où.
Création de piège basiques, allumer un feu like a dragon, chaque tuto suivit semble lui accorder un peu plus des airs de McGyver et ce n'est pas son égo qui s'en plaindra. Hélas, pas sûre qu'à l'heure actuelle elle survive seule en forêt quatre jours. En parallèle, elle s'est laissé entraîner par un petit groupe d'ami au sein de leurs séances d'urbex et semble un certain plaisir à crapahuter ci et là.

Reine du paint ball : Si sa précision n'est plus à démontrer, c'est dans une activité que l'on ne soupçonnerait pas qu'elle brille pourtant : Le paint ball. Plus qu'un jeu, un exercice qui vous coûtera sans doute un headshot des plus sévère. A croire qu'elle se prend beaucoup trop au jeu et risque ses fesses au moindre pas une fois cette arme en plastique en main. Même constat pour les batailles d'eau d'ailleurs. Petite, elle était une véritable terreur lorsque survenait l'été et ses jeux alors il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle soit désormais impitoyable, une arme en plastique entre les doigts et un sourire en coin aux lèvres...

Physique

Le pas éthéré, sculpté par le divin entre nacre et marbre blanc pour ne se voir suspendre qu'à la grâce de quelques étoiles, June est une jeune femme aux traits délicat, marqué d'une beauté sincère et pure que sublime ses grands yeux d’émeraude. Hélas, si la divine colombe fut autrefois couronné par une aura aussi douce que lumineuse, le temps a su la changer en fauve tant et si bien que c'est à présent du bout de ses crocs qu'elle s'offre aux rues de Gravity falls, terrible ombre raclant le pavé de ses larges griffes. Grande, l'allure tenu au fil d'une sauvage noblesse, ses pas sonne comme des lois et ses battements de cils se font guillotines pour assurer à sa progression un couronnement souverain et une place de choix, trônant fièrement sur le triangle de la popularité, un éclatant sourire aux lèvres.  D'ailleurs, le claquement tranquille de ses talons semble jumelé à celui des groupes viscéralement accroché à ses sourires. Rarement seule, elle semble presque toujours en tête de marche, pendu aux bras de jolis garçons ou  bercé entre rires féminins et forcé qui ne forge qu'un peu plus ses sourires en coin. Reine. Diva. Elle connaît son influence sur les autres et l'épouse avec un effroyable délice.

Les frivoles ondulations de sa chevelure autrefois noisette ont, il y a un ans, prit des teintes corbeau pour durcir un peu plus les traits de son visage. Cascadant jusqu'à sa poitrine, elle assure au levé des airs de lion tant elle semble rebelle et indomptable et pourtant, il n'est plus question de couper par delà les pointes. Plus ja-mais. Elle y tient bien trop pour ça. Ses courbes elles, sont graciles et voluptueuses, suspendant à leurs félin roulement quelques libidineux regards ou grivois commentaire qui entache toujours un peu plus son diaphane épiderme. Clairement inspiré par son père, celui-ci se voit d'ailleurs paré par quelques tatouages qui ne sont un secret pour personne. Il faut avouer que le manque pudeur de la brune à su les exposer plus d'une fois au regard d'autrui. Seul celui qui prend place sur sa nuque semble déroger à la règle et attiser les regards noirs de cette sauvage harpie au point où la question de le recouvrir s'est plus d'une fois posé. D'un autre côté, elle peine véritablement à s'y résoudre, désespérément accroché à sa signification et les souvenirs qu'il porte en son sein.  

Et puis, elle aime l’esthétique de ce fameux tatouage la jolie brune. Esthétique qui semble obséder jusqu'à l’aliénation l'esprit de notre June Smilovbitchy nationale. Qu'elle s'exprime par le biais du maquillage, un style vestimentaire prononcé ou la sculpture du corps par le sport de manière journalière, ce corps discipliné, plaisante nymphe, a su avec le temps devenir la meilleure des armes de June. Alors elle en prend soin, se fait plus dur avec elle-même pour repousser ses limites et jouer de doux battements de cil en direction de Dame Perfection. Mais peut être avec un meilleur régime alimentaire et une absence d'anémie parviendrait-elle à atteindre un peu mieux ses idéaux ? Le sommeil aiderait aussi. Terriblement. 

Mental

Terrible harpie, impitoyable garce, les coeurs se brisent au contact de ses griffes et s’aliène, enchaînés à son bon vouloir. Pendu aux teintes de son rouge à lèvre. A croire que le passage de June Smilovski nécrose tout ce qu'il touche pour le pourrir jusqu'à la moelle, viciant les âmes les plus pure du fer de sa langue, lorsqu'elles résistes, survivent aux galops incessants de propos à en faire pâlir les bas enfers. Peste souveraine aux longs crocs, sa réputation la précède bien souvent tant et si bien qu'échapper à son regard de diablesse semble être, en soit, un soulagement appréciable.

Directe, cassante, elle semble prendre un plaisir certain à cerner les faiblesses d'autrui et y planter les griffes jusqu'à éclatement du coeur, s'imposant comme antonyme officiel au nom "douceur" et synonyme d'égoïsme, parce que oui, en plus d'être une enflure assumée, miss Smilovski est une précieuse égoïste qui semble exécrer au plus haut point la seconde place. Régit par une loi aussi primaire qu'animale qu'est celle de la Force, c'est une adepte du "marche ou crève" et son pas seul suffit à rappeler au monde qu'elle compte bien assumer sa place d'alpha avec perfidie et véhémence. Jouer d'ombre sur sa couronne vous vaudra sa haine, un acharnement irraisonné et au passage une lapidation de votre réputation aussi sévère que publique : Quitte à l’immortaliser du bout des caméras pour la relayer sur les écrans. Certains suppose donc que là prend place son acharnement sur son frère, peut être trop favorisé par ses parents. Hélas, les rumeurs osant effleurer l'image familiale se voient trop souvent étranglé aux frontières des lèvres, censuré par le regard de la brune, guillotine véritable, avide et vengeresse.

Arrogante, impulsive, vaniteuse et d'une rancune à toute épreuve, la belle semble épouser les pire tare avec autant d'aisance qu'elle claque ses médisances aux joues d'autrui et pourtant, il faut croire que ce monde n'est pas fait que de manichéisme. Raffinée et douée d'un certain sens de la poésie, ce grand fauve ne cesse de surprendre et arbore une fois plongé dans une salle de classe un sens de la perspicacité et une culture générale étendu qui mette à mal les stéréotype de la jolie cheerleader malhabile, quelques neurones entre les doigts.

Plus protectrice qu'elle ne le laisse sous-entendre, cette drôle de créature semble épouser son rôle de leader avec assiduité pour s'incarner en défense infaillible entre ses amis, ou plus généralement les cheerleaders sur lesquelles elle veille d'un oeil impitoyable, et les ennuis qui peuvent de temps à autre survenir. Il faut dire que s'il y a bien une chose qui rend encore plus exécrable cette fille du Diable, c'est bien que l'on approche d'un peu trop près sa meute. Paradoxalement, si la popularité colle à sa peau, June demeure une jeune femme profondément renfermé, ne parlant que trop peu de ses émotions, passé et ressentit et se condamnant à une discipline aussi sévère que violente à son propre égard. Exposer ses faiblesses, ployer le genoux où oser verser une larme en publique reviendrait à exposer sa sensibilité exacerbé, étouffée sans cesse derrière des airs trop dur qui la fissure pourtant un peu plus chaque jours. Ce qui renforce sans doute son impulsivité légendaire.

Passionnée de danse, cette pratique semble être devenu ces derniers mois un catharsis nécessaire à ses élans trop belliqueux, épuisant aux frontières de l'effort un besoin viscéral de chaos. A dire vrai, si les derniers mois compte plus de sortie qu'au début de l'année, c'est simplement que June en a besoin pour ne pas sombrer, désespérément raccroché à l'exercice journalier et aux frontières de l'effort pour étouffer sa langue acérée et un corps décidément trop belliqueux. Peut être est-ce également pour la contraindre au sommeil lourd, celui qui daignera encore survenir après trois cauchemars dans une nuit aussi agité que désespéré.

Histoire

Un sursaut. Un sursaut attendu et pourtant saisissant avait conduite le regard de l'une des cheerleaders de Gravity Falls aux mains de son capitaine, solidement accroché autour du saladier de pop-corn, un tapotement régulier au bout de l'ongle. Mmh ? C'était quoi cette moue, furieux petit corbeau ? Curieuse, Lisa, jolie rousse aux grands yeux noisettes s'était penché sur June pour doucement presser son épaule et attirer inexorablement à elle l'attention de cette sauvage brune, venu trouver refuge en cette nuit de St valentin chez elle devant un film d'horreur, réponse aux propos libidineux de son actuel petit copain qui avait vraisemblablement heurté la patience de Miss Smilovski. Alors elle saisit sa chance la petite Lisa, claque son talon sur la table basse comme pour définitivement happé l'attention de son capitaine et lui confier ses inquiétudes. Cela fait peut être une semaine que la grande et farouche June a délaissé l'étincelle de son regard pour des sourires de façade et la rousse s'en inquiète. Hélas, elle le sait, si June est connu pour sa langue acerbe et ses punchlines aussi blessantes que sévère, June est quelqu'un qui ne parle jamais, ô grand jamais de sa personne. Ses peurs, ses passions (outre celle pour la danse qu'elles partagent sans grande peine), ses objectifs et liens demeurent scellé au bout de la langue et les y arracher semble parfois friser l'impossible si bien que sa simple histoire demeure un mystère viscéral. Née de l'union d'un médecin et père avocat, c'est après un ans à peine que l'a rejoint Tristan, ce frère tant malmené par ses crocs acérés. Une enfance dès plus banale, ponctuée de photo qu'à pu apercevoir Lisa au grès des albums soigneusement gardé par June, souvenir rayonnant qui semblaient unir le frère et la soeur autour d'une douceur pure et superbe qui avait, sur le coup, arraché à la cheerleader un regard stupéfait. Ne l'avait-elle pas toujours haïs ? A croire que non. La rupture semblaient s'être dessinée après la mort de leur mère, gravant jour après jours au plus profond de la brune des airs de fauve. Si Lisa avait tenté de comprendre comment pareille rancœur avait pu naître entre les mains de son amie, cette dernière l'avait balayé d'un simple "C'est facile de me faire passer pour le loup de l'histoire, mais ce n'est pas un ange, lui non plus" qui avait semé plus de question que de réponse. Les rumeurs soufflaient que Tristan avait fait de la prison il avait trois ans et Lisa n'avait pu que plaquer cette information au mal-être de son corbeau blessé. Il n'avait tout de même pas pu être violent avec elle... Si ? Non. Tristan aimait sa soeur, c'était un fait indéniable qui avait contrainte la rousse à se faire plus douce à son égard, allant même jusqu'à temporisé les élans impitoyable de June pour les étouffer d'une simple pression sur sa main. Et puis, June ne pouvait trembler face à son frère, impitoyable diablesse qu'elle était. Pourtant, n'avait-elle pas eut ces regard fébrile à son égard ?   

"Bon, bon, bon. Ca te tente que l'on fasse fondre tout ces chocolats pour essayer d'en faire une boisson chaude ? Ma mère faisait les meilleurs chocolat chaud et... Je n'ai jamais vraiment prit le temps de voir comment elle faisait. Ca me manque un peu, je dois te l'avouer. La dernière fois que j'ai tenté de faire ça seule, je crois que Tristâche a réussit à terminé sa tasse uniquement par amour pour moi, alors je ne te promet rien." Lança la brune en émergeant de la couette pour ramasser les boîtes échoué à sa droite. Il y en avait tellement... Les gens n'avaient aucun respect pour son régime
"Borf, au pire j'y arriverais aussi va ! Dans le frigo il y a de la chantilly si tu veux !"
"Et j'ai de la guimauve dans mon sac, tu me l'attrapes s'il te plaît!" Renchéri la brune dans un sourire complice. Mouhahaha ! Elles allaient préparer les meilleurs chocolats chauds de tout les temps, Lisa en était certaine. Et alors qu'elle se saisit du sac de son ami pour en extirper l’artefact sacré, la rousse surprend le téléphone de June et ses vrombissement. Messages.
"Ton frère... Je répond ? "
"S'il m'annonce que ses conneries avec Dipper Freak Pines ont causé sa perte et celle de mon père, tu peux lui annoncer que je vais finir par l'enfermer."

Quelques lignes sur vous

►Votre pseudo? Hermine
►Ton âge? 
►Comment as-tu trouvé ce forum?  Je me suis perdue ;n ;
►Qu'en penses-tu? Les admins sont tyranniques, la communauté est méchantes et clairement, je n'aime pas ce forum, mais bon, il faut croire que je suis masochiste pour sauter aussi vite sur un prédef, Keur keur, EddyXAshounet forever ~
►Des questions ou des remarques? Aucune, si ce n'est « LE PREMIER QUI ME LAPIDE BB JUNE JE LE MORS D8 »
►Un double compte? Si oui, lequel? Misty W. Elm